Mickaël Pichard, journaliste numérique pour Ouest France, s’est “infiltré”, le temps d’une matinée, dans les bureaux de Shortways : immersion dans le monde d’une start-up et découverte de notre quotidien.
Chez Shortways, les cookies ne sont pas des petits gâteaux. Mais, avant d’attaquer la grande réunion mensuelle du matin réunissant les équipes parisiennes et lavalloises, on peut prendre une part de kouglof.
Shortways est une des start-up issues de la pépinière d’entreprises de Laval Mayenne Technopole.
Une grande pièce toute en longueur avec une demi-douzaine de bureaux et deux fois plus d’écrans, occupe la majeure partie de l’open space « C’est ici que travaille l’équipe recherche et développement », indique Toan Nguyen, 41 ans, fondateur et PDG de Shortways. Ici, on parle un drôle de langage peu compréhensible par les non-initiés…
L’occasion aussi pour Emilie Belliot, dernière arrivée dans l’équipe de Shortways au poste d’assistante marketing international, de partager son ressenti suite à son premier mois au sein de Shortways :
Chacun contribue au développement de l’entreprise. Cela m’a étonnée. (…) Quand quelqu’un a une idée, on la teste tout de suite. Cela marche ou cela ne marche pas, mais on essaie !
Vous pouvez retrouver une partie de l’article sur le site web de Ouest France “On a passé une matinée chez Shortways, start-up lavalloise” rédigé par Mikaël Pichard et l’article dans son complet dans la version papier du 11 décembre 2015.