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pictoLa rentrée des startups à la Laval Mayenne Technopole a a été placée sous le signe du mentorat entrepreneurial. A cette occasion le magazine France Territoires Entreprises a réalisé un focus sur deux jeunes entreprises innovantes dont Shortways.

Voici l’extrait concernant Shortways :

Crée en janvier 2011, Shortways est un éditeur de logiciels qui propose des outils innovants pour assister l’utilisateur dans ses tâches quotidiennes (comptabilité, gestion commerciale, finance…). Cet assistant virtuel, baptisé ’’Shortcuts’’, interprète les textes et les données à l’écran pour fournir la bonne information, au bon  moment!

Selon Toan Nguyen, dirigeant de Shortways, les Technologies de l’Information n’ont de sens que si elles apportent une véritable valeur ajoutée aux utilisateurs. Pour cause, ses expériences chez Total et Schlumberger entre autres ont été révélatrices de la perte de temps générée par la gestion des procédures internes. Bien que cet ancien de Centrale n’avait pas le projet de créer une entreprise, il se laissera convaincre par la ‘’machine’’ Idenergie, organisé par Laval Mayenne Technopole, après avoir été nominé lauréat à l’édition 2010. La startup aura mis très peu de temps pour décrocher des contrats avec Total ou encore Sodexo. L’accueil du marché fut donc excellent ! Un succès anticipé par son dirigeant qui dès la création de la structure a embauché 2 ingénieurs en développement. Shortways continue sa progression et prévoit à courts termes de faire une levée de fonds pour renforcer son équipe commerciale.

« Être dirigeant d’entreprise est un exercice de funambule où il faut coûte que coûte trouver l’équilibre entre investissements (R&D), investisseurs, clients et l’humain ».

Toan Nguyen dirigeant de Shortways témoigne :

« J’ai monté ma start-up à cheval entre Laval et Paris. Laval pour la R&D, Paris pour le business (nous sommes une start-up B2B). Après presque 1 an d’existence quelques constats :
– faire sa R&D en province, c’est le top. Pas de stress pour arriver au boulot, et les moyens modernes (skype) permettent de se parler quand on veut. Les ingénieurs développeurs peuvent se consacrer pleinement à leur tâche.
Économiquement il n’y a pas photo (nous sommes chez un incubateur, 350 euros pour 25m2 par mois…)
Par contre, il faut un manager autonome sur place pour bien cadrer et être sur que l’équipe délivre régulièrement (on fait de l’agile). On synchronise « physiquement » tous les 3 semaines (début / fin de sprint)
– côté networking, on bénéficie de 2 réseaux : Paris et le réseau régional où on est implantés. La vision régionale permet de remettre les pieds sur terre par rapport au « hype » parisien. Bref, que du bon! 
».

Article réalisé par le bureau de relations presse de Comexia.

Retrouvé l’article dans son intégralité : France Territoires Entreprises- Oct 2012 Shortways et Baramind